2016 & 2017: King Gizzard and the Lizard Wizard

Les deux derniers de King Gizzard en critique pour votre plus grand plaisir auditif… ah ouin … c’est vrai … c’est moi qui a la chance de les écouter, alors pour mon plus grand plaisir auditif. Faites comme moi, allez les acheter (ou non)

Parfois on tombe sur des groupes de musique qui définissent un style indéfinissable. Quand on entend parler de «rock alternatif», on se dit que c’est un terme galvaudé. Une fois qu’on a déterminé un terme définissant mieux un groupe, on va les sortir du fourre-tout qu’est l’Alternatif. Mais King Gizzard, c’est de l’alternatif. C’est un groupe définitivement rock, qui frise le heavy, frise le métal, a des paroles folles, touche un peu à tout, est geek, est tout sauf reposant, est vraiment bizarre et louche et ne se prend définitivement pas au sérieux. C’est plus près du post rock de Avec Le Soleil… que du rock traditionnel, c’est définitivement psychédélique mais beaucoup plus heavy que les groupes psy habituels. En d’autres mots, c’est alternatif. Si j’avais à voter sur un terme, j’irais avec du Geek Rock.

Album: Nonagon Infinity
Artiste: King Gizzard and the Lizard Wizard

En test: 2016 Vinyle rouge et noir 140g

Étiquette: ATO Records
ATO0301

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Leur offrande de 2016, Nonagon Infinity, est un album concept de neuf chansons s’imbriquant toutes unes dans l’autre, pouvant être jouées à l’infini. Mais chaque chanson est louche à sa façon. On pense à Mr. Beat qui est un mélange de 7 temps parce que le groupe manque un temps «Once I’m Mr. Beat I only miss a beat». Chaque chanson possède son côté louche de la même façon, habituellement en 7 temps pour les 7 musiciens du groupe. Ouais … c’est comme ça!

Et côté qualité de vinyle? D’abord, le principe même de l’album est d’être écouté à l’infini. On a donc droit à un fondu enchaîné entre les faces de l’album. C’est pas tip top, c’est un peu comme les disques simples 45 tours de funk des années 70 où on avait la Part 1 du simple radiophonique sur la face A et la partie étendue sur la face B. Mais ça passe. Ce qui passe moins est le côté compressé du disque. Ça sent le CD envoyé verbatim à Pirate Press. CD qui d’ailleurs est très fort. C’est un peu dommage. Ça sonne quand même bien, mais ça pourrait être tellement mieux.

Album: Flying Microtonal Banana – Explorations into microtonal tuning volume 1
Artiste: King Gizzard and the Lizard Wizard

En test: 2017 Vinyle Jaune radioactif

Étiquette: ATO Records, Flightless
ATLP176, FLT-028

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Et on ne s’améliore pas sur le côté geek avec leur dernière offrande. L’album sonne louche pour une bonne raison: les instruments sont accordés d’une façon différente qu’on a l’habitude d’écouter dans la musique moderne. Comme ils l’écrivent, «Wronger than wrong»! Non contents d’explorer les micro-intervalles entre les notes traditionnelles, ils jouent avec le concept et explorent ce qui est peu exploré sur les enregistrements modernes avec des progressions louches. Geek! Geek! Ils ont pris leurs instruments et les ont convertis à l’échelle arabe en 24 quarts de tons. Avant que vous ne vous posiez la question, non vous ne pouvez pas jouer ces compositions sur votre guitare. Et avant que vous ne posiez la deuxième question, oui il existe d’autres systèmes à micro-intervalles, dont un à 31 intervalles par octave!

Côté sonorité, est-ce que c’est juste aussi bizarre que la musique? Ça reste fortement compressé, ça reste bizarre. Mais ils ont fait le ménage dans leur sonorité sur ce disque vinyle. Il est un peu plus aérien que Nonagon. Reste que les pièces de musique sont moins métal que sur ce dernier alors c’est un peu normal que ça respire. Et il respire plus que sur le CD. J’assume donc qu’ils ont fait un petit ménage dans leurs fichiers maîtres, tels qu’envoyés à Pirate Press. Après tout, ils ont du se faire taper sur les doigts suite à leur dernier album. Mais c’est si légèrement mieux.

En fait c’est ce qu’il faut retenir du groupe: leur sonorité est forte et compressée. Leur musique est maximisée. C’est ce qu’ils désirent. La fin! Si vous n’êtes pas contents, passez votre tour. Sinon, achetez leurs disques, mettez ça sur vos haut-parleurs à tue-tête et profitez-en!

Remastering 2013: Vangelis – Blade Runner

Mon film préféré. Et ma trame sonore préférée, sur ma gravure préférée.

Album: Blade Runner
Artiste: Vangelis

V.O.: CD 1994, EarthWest

En Test: Vinyle 2013, Édition numérotée rouge

Étiquette: Audio Fidelity
AFZLP 154

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Il y a un fort marché pour les trames sonores. Auparavant, il y avait les églises qui réalisaient un mécénat auprès des grands compositeurs. Aujourd’hui, c’est surtout les films qui peuvent se permettre de grandes trames sonores. Parfois, on a droit à des trames sonores tirées des succès de l’heure, parfois on a droit à des compositions. Certains vont dire que ce n’est pas de la vraie musique et qu’un jour les gens vont passer à des grands compositeurs classiques. On n’a qu’à penser à John Williams et j’ai mon CQFD. Mais on a droit aussi au goût de l’heure: ce n’est pas pour rien qu’on a du synthé pop exploratoire dans les films des années 70, c’est ce qui était d’avant-garde à ce moment. D’ailleurs, les trames sonores font parfois découvrir des bijoux, comme celles des animations japonaises Macross Plus, par Yoko Kanno. Oui, une femme qui réalise de l’orchestral.

Vangelis fait partie de ce club sélect ayant pu réaliser une si belle trame sonore, sur un film ayant frappé l’imaginaire de toute une génération. On ne peut pas dire que les chansons ont fait un succès commercial individuellement, ça reste des chansons ambiantes. Et les gens aimant Vangelis préfèrent habituellement acheter ses albums, qui sont excellents. Mais ce disque a une place dans le cœur des mélomanes, des audiophiles et des cinéphiles.

Côté qualité, ça part vraiment mal. Disque rouge, 180g, 30 minutes de musique par face. Et à partir de ce moment, tout va incroyablement bien! En fait, c’est un de mes disques qui a la meilleure sonorité, un test de système de son, un test d’aiguille aussi. Malgré sa durée très conséquente par face, la sonorité est hyper définie, il n’y a que peu de bruit de fond … il y en a mais beaucoup moins qu’un tel disque aurait du avoir. Quand il y a du popcorn, reste qu’il est omniprésent à cause du volume plus faible du disque. Une chance que le disque est superbement propre.

Atlantic Records sortent une version avec image sur le disque afin de célébrer le 35e anniversaire. Je me demande s’ils vont utiliser une technique en stencil ou une technique traditionnelle avec disques en plastique transparent afin de graver le disque. Malgré que l’objet va être superbe, une chance sur deux que la qualité y soit!

2016: Automatisme – Momentform Accumulations

Le premier disque de Automatisme chez Constellation, 6 mois de sortie, ça se fête!

Album: Momentform Accumulations
Artiste: Automatisme

En test: 2016 Vinyle

Étiquette: Constellation
CST118

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Automatisme est un projet de musique glitch qui prend tranquillement son envol. L’idée de base est de fournir des chansons-mondes à l’aide de captations, de matériel original, de processus de création d’abord cérébral, ensuite rodé en live dans des spectacles qui au début nous faisaient planer dans notre tête, dorénavant qui nous font danser. Les premières compositions des premiers volumes étaient beaucoup plus expérimentales de nature et avaient un focus vers la découverte de l’univers musical, se raccrochant beaucoup plus sur des styles connus et des albums phares de la musique électronique. Continue reading “2016: Automatisme – Momentform Accumulations”

Réédition 2017: Pierre Fournier – J.S.Bach: Six Suites pour violoncelle seul

Une réédition du grand classique de 1961 de Pierre Fournier.

Compositeur: Johann Sebastian Bach
Pièce: Six Suites pour violoncelle seul, BWV 1007-1012
Artiste: Pierre Fournier

V.O.: 1961 Archiv Produktion, 3 vinyles coffret, Allemagne
14356 /57 /58

En Test: 2017 Archiv Produktion
479 696-3

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Il y a des enregistrements intemporels, des enregistrements frappant l’imaginaire, définissant une pièce de façon si prenante que ça devient le standard de facto. Cette version de Pierre Fournier datant de 1961 est exactement de cet acabit. Pour la même pièce, il y a aussi la version d’Anner Bylsma 20 ans plus tard qui a eu un succès international avec sa version des mêmes Suites de Bach, émule de cette version en sonorité. Il y a d’autres interprétations avec des sonorités différentes, telles que les versions de Rostropovitch et de Yo-Yo Ma qui méritent plus qu’une mention, mais qui mériteraient des articles à eux seuls tellement elles sont différentes et magiques. Mais la version moderne qui a donné les lettres de noblesse aux suites, c’est celle de Fournier. Continue reading “Réédition 2017: Pierre Fournier – J.S.Bach: Six Suites pour violoncelle seul”

2014: Compilation – Native North America Vol. 1

Un très gros coup de cœur de 2014, qui touche exactement ce que j’aime dans un coffret imbattable.

Album: Native North America Vol. 1: Aboriginal Folk, Rock and Country 1966-1985

Compilation

En test: 2014 Vinyle

Étiquette: Light In The Attic
LITA 103

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Quels coffrets. Autant le coffret CD que le coffret vinyle valent la peine. À un prix dérisoire, on a droit à trois disque vinyles avec gravure impeccable, dans des pochettes en carton rigide, avec un livret de 60 pages avec des explications copieuses de chaque disque, chaque artiste, chaque 45 tours, ainsi qu’une perspective historique sur ces grands artistes parfois méconnus. La même chose pour le coffret CD, avec les mêmes chansons et le même texte dans le livret de 120 pages.

Et côté chansons, on a droit à des artistes des premières nations d’avant plan ayant côtoyé l’americana, le rock et le country toute leur vie, qui ont marqué leurs communautés respectives, ou carrément la planète entière avec leur sonorité unique basée sur des rythmes tribaux Nord-Américains, des paroles de leurs préoccupations. Bref, tout ce que l’americana, le country et le blues représentent: des chansons personnelles sur ce qu’on a vécu, des préoccupations du moment, des questionnements, une tranche de vie historique. Ce n’est pas qu’une vision des États-Unis non-plus, on a droit à beaucoup de disques du Canada, du grand-nord.

Dans le lot, on a aussi beaucoup d’extraits de disques de la Société Radio-Canada; voici un pan de leur mission culturelle qu’on ne retrouve plus vraiment aujourd’hui hélas. On avait droit à une étiquette de disque fièrement canadienne avec des préoccupations locales, des satellites à travers toutes les communautés et une volonté d’aider à produire notre culture unique a mari usque ad mare. Même chose pour les films avec l’ONF. Aujourd’hui, ces endroits radio-canadiens sont surtout dans les grands centres, les acteurs de ces belles communautés sont encore plus séparés de nous et les actions artistiques doivent principalement se faire via des superbes (mais limitées) initiatives telles que le Wapikoni Mobile. Rares les Florent Vollant, les Elisapie Isaac, qui peuvent se permettre d’enregistrer leurs propres disques dans les grands centres. Impossibles les artistes qui désirent rester à Puvirnituq (comme Sikumiut) et qui peuvent même être entendus. Comme l’auraient dits Les Colocs, passe-moé la puck pis j’vas en compter des buts. Les artistes chanceux de cette compilation ont eus droit à cette chance et écoutez ce que ça donne!

Ok, assez de politique, et le disque vinyle? Ça reste une compilation, les chansons sont hautement inégales, certains des matériaux ont le vinyle comme source, d’autres proviennent de bandes maltraitées, d’autres ont eus droit à une conservation en tant que matériel d’héritage culturel notoire. Ce qui est certain, c’est que comme ils nous ont habitués, Light In The Attic ont fait un travail de qualité impeccable, ont donné le maximum aux chansons et nous ont fourni un disque digne de la prémisse de cette belle anthologie et digne d’un disque au double du prix. Ils ont toutefois modifié un peu la sonorité, on y reconnaît les années 60-80 mais ils ont fait un travail résolument moderne sur la qualité des pistes. D’aucuns diront qu’ils ont enlevé l’âme de certaines chansons, moi je trouve que dans le cas d’une telle compilation avec des qualités de tout acabit, produits aux quatre coins de l’Amérique, c’est de très bonne guerre que de normaliser dans un sonorité moderne, qui s’écoute bien de A à Z. La gravure est silencieuse, impeccable, les chansons sont belles, amples, la sonorité, légèrement numérique, ne déplait absolument pas. Ils ont fait ce projet avec passion et déférence, ça paraît. Un jour, on aura peut-être droit à un volume 2 et un spécial avec les artistes du Wapikoni Mobile! Je les souhaite de tout mon cœur!

2017: Mastodon – Emperor of Sand

Le Mastodon poursuit sa transformation vers le sludge avec leur dernier opus.

Album: Emperor of Sand
Artiste: Mastodon

En Test: 2017 Vinyle

Étiquette: Reprise Records
558742-1

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Un des bons groupes métal des années 2000 commet enfin une nouvelle production toujours plus hard. J’ai un respect pour les groupes ne restant pas dans leur même sonorité, qui poursuivent leur aventure musicale en changeant leur modèle, même si ce dernier est apprécié. On n’a qu’à penser à Depeche Mode qui est passé du new wave aux compositions synth-pop avec Violator à carrément du synth rock avec Songs of Faith and Devotion. Ou plus près du but, Iron Maiden avec un style Heavy Metal à travers leur carrière, mais modifiant beaucoup leur sonorité, ce qui fait que le vieux Maiden ne sonne pas du tout comme le nouveau. Mastodon c’est un peu la même chose, passant de stoner-prog à sludge-prog au fur et à mesure de leurs disques. Les fans peuvent détester, ils peuvent perdre le groupe qu’ils aimaient, c’est l’envers de la médaille. Mais on ne peut toutefois jamais dire de ces groupes qu’ils ne sont pas honnêtes artistiquement parlant, ils font la musique là où ils sont rendus et c’est tant mieux comme ça.

Justement, ce disque est presque trois disques en un. Les chansons de la première face sont presque plus traditionnelles heavy metal. Ensuite on a droit à du sludge pour les quatre autres chansons, beaucoup plus hard. Et finalement on a droit à trois chansons avec des collaborations avec la finale, Jaguar God, presque un retour aux sources stoner de Mastodon.

Et est-ce que le disque vinyle est bon? Généralement parlant, le disque a été matricé avec beaucoup d’amour (à la Casa de Amor – je devais la faire – désolé!), l’endroit de prédilection de Mastodon, Pearl Jam et de quelques autres groupes. C’est clair que ce n’est pas la même matrice que la version CD, ils ont pris le temps de faire un master spécial pour le vinyle avec toute la force du vinyle, des basses présentes, des fréquences fortes, une compression adaptée au vinyle. Chapeau pour le travail de qualité. Reste qu’il est très très compressé, ils sont partis du master fait pour le CD par le band lui-même, qui était déjà dans le tapis. Les chansons devenant de plus en plus fortes à mesure que le disque avance, j’ai eu de plus en plus de misère à apprécier le disque. Je dirais que le point où ça a commencé à m’agacer est sur Word To The Wise (1-B2). Et le triste meilleur exemple est Jaguar God où tout est au même volume malgré une progression apparente, où chaque coup de drum fait basser les instruments secondaires, où le tout se termine justement en sludge de sons et non en une belle harmonie destructrice métal. Prenez exemple sur Quadrophenia (The Who) avec des mouvement hyper légers et d’autres incroyablement forts, pas juste le tout normalisé à 100%. Bon, s’écoute bien, mais dommage et aurait pu être mieux.

On achète si on aime Opeth, Slayer, Lamb Of God, Neurosis, Baroness.

2013: Cauchemar – Tenebrario

Du Doom Metal en français de Montréal avec une chanteuse lyrique? Check!

Album: Tenebrario
Artiste: Cauchemar

En test: 2013 Vinyle

Étiquette: Nuclear War Now!
ANTI-GOTH 236

Ce disque est en distribution indépendante. Vous pouvez obtenir le dernier opus de Cauchemar, Chapelle Ardente, sur le site de leur maison de production.

J’avoue avoir eu à être créatif sur la mise en page de ma photo traditionnelle de disque. C’est un cas de disque où la maison de production a décidé de tout donner, d’y mettre la gomme entière, le paquet avec l’emballage, la totale. On a droit au disque transparent dans une pochette-cadre avec le titre sur la pochette intérieure, avec un badge à coudre, un poster, le tout dans une pochette en velours noir. Continue reading “2013: Cauchemar – Tenebrario”

2017 & 2015: Temples – Volcano & Mesmerise Live

Temples nous revient avec un nouvel album psychédélique, le premier en trois ans. Et un petit retour/comparatif avec leur simple de 2015.

Album: Volcano
Artiste: Temples

En test: 2017 Vinyle

Étiquette: Fat Possum records
FP1588-1

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Album: Mesmerise Live
Artiste: Temples

En test: 2015 Vinyle, édition spéciale RSD2015

Étiquette: Fat Possum Records
FP1485-1

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2013 & 2014: Machinedrum – Vapor City & Vapor City Archives

C’est le temps de sortir ses solos de machine à laver sur deux disques doubles ayant assez de basse pour nous faire voir quadruple… et tomber dans le piège de surprises stylistiques!

Album: Vapor City
Artiste: Machinedrum

En Test: 2013 Vinyle double

Étiquette: Ninja Tune
ZEN200

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Ce n’est pas juste un peu de petite basse minable ici. Travis Stewart (Machinedrum) a pondu un véritable bijou du Drum n’ Bass avec son album Vapor City. Ninja Tune, jamais en reste sur ses artistes lorsqu’il détient un filon, y a mis le paquet. Ce projet a valu à Machinedrum une tournée, des douzaines de versions simples de ses chansons et même un deuxième disque, Vapor City Archives. Continue reading “2013 & 2014: Machinedrum – Vapor City & Vapor City Archives”

1982: Bernardi, Massé – Aubade, Divertissement, Prélude

Ressortons des grands disques. Trois grandes pièces et un grand orchestre au programme de ce disque enregistré à Ottawa.

Programme:
François Poulenc – Aubade
Jacques Ibert – Divertissement
Claude Debussy – Prélude à l’après midi d’un faune

Artistes:
Orchestre du Centre national des Arts, Dir. Mario Bernardi
Denise Massé,
Piano (Aubade)

Étiquette: Disques Société Radio-Canada
SM5013

Ce disque n’est pas nécessairement disponible chez Fréquences. Il s’agit d’un disque d’archive. Vous pouvez toutefois le trouver assez aisément et à peu de frais si vous êtes intéressés. Continue reading “1982: Bernardi, Massé – Aubade, Divertissement, Prélude”